Prendre le temps d’observer (la nature, les lieux…) et les besoins humains avant d’agir, pour créer des systèmes adaptés et durables.
Lumière, eau ou ressources humaines : toute énergie disponible doit être captée et conservée.
Concevoir des systèmes qui produisent immédiatement des bénéfices tangibles (aliments, énergie, etc.).
Reconnaître les limites, corriger les erreurs, et laisser les systèmes s’auto-ajuster.
Privilégier ce qui se régénère naturellement, comme le compostage, le soleil, le vent ou la coopération.
Tout ce que nous considérons comme « déchet » peut être vu comme une ressource réutilisable.
Commencer par le design global avant de se concentrer sur les éléments spécifiques.
Notre bon vieux réflexe d’humain est d’éliminer ce qui nous embête. Mais parfois, ces mêmes éléments gênants ont un rôle ou des fonctions qui peuvent nous rendre service. Créer des connexions avec ces éléments est un de nos secrets pour un projet réussi.
Favoriser les évolutions progressives et locales plutôt que les grands bouleversements. Ce sont les fameux petits pas !
La diversité biologique, sociale ou culturelle rend un système plus résilient face aux changements.
Les zones de transition (bordures de forêts, interfaces sociales…) sont riches en interactions et en productivité.
Anticiper, accepter et s’adapter au changement avec le sourire pour en faire une opportunité.
Ces principes ont été formulés par David Holmgren, l’un des cofondateurs de la permaculture aux côtés de Bill Mollison. Ils ne sont pas figés, bien au contraire ! Ce sont des lignes directrices qui peuvent être enrichies par l’expérience de chacun.